26 octobre 2007
Fragment poétique
L'époque blanche
Très loin dans la tête
Je l'écoute partir
*
En buvant un thé le soir
D'un son de la lumière
J'écris l'Aurore
*
Brune la lune absente
mitraille celles qui percent :
Les étoiles obscures
Châteaux d'où
*
La colonne souffrante soudain
étage les oripeaux blancs
entre des bras absents
malgré,
Encore
Les blancs rayés par l'astre
Trop haut ; je fais de la buée
*
Elle prend le mouvement, Encore-Mouvement-Là, l'arc de l'escargot
Dure la mollesse qui se barre
S'en va juste
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L